Quand le magnétisme et le corps deviennent de puissants coéquipiers
La raison pour laquelle j'aime travailler avec l'énergie est que, très souvent, des choses se produisent que la science ne peut tout simplement pas expliquer. Je suis toujours étonné de voir comment, en débloquant juste l'énergie obstruée ou stagnante, le corps peut se guérir et créer de véritables miracles sous nos yeux. Autant j'aime la science, j'aime l'énergie encore plus.
Récemment, j'ai été à nouveau face à face avec la beauté et la magie de notre royaume énergétique, tout en travaillant avec un chien incroyable nommé Imka. Il occupera à jamais une place spéciale dans mon cœur, et je voulais partager son voyage miraculeux avec vous afin que, vous aussi, soyez émerveillés et ébahis de ce dont le magnétisme et le corps sont capables.
Bonne lecture !
Qui est Imka ?
Imka est né en mai 2013. C'est un berger australien. Il est arrivé à une période de ma vie qui était très compliquée, grâce à une psy que je j'allais voir. Ça faisait très longtemps que je voulais un chien. À ce moment-là, j'étais en dépression et je ne m'autorisais pas à prendre un chien parce que mon compagnon de l'époque n'en souhaitaient pas. C'est la psy qui m'a dit, maintenant il va falloir un peu tapé du poing, ça fait presque 30 ans que vous faites passer les autres avant vous. Aujourd'hui, il est temps de vous faire passer en premier. Donc, je connaissais quelqu'un qui travaillait dans des écuries, qui avait des portées de Berger Australien et je l'ai contacté. Elle m'a envoyé des photos. Je voulais un mâle et tout de suite, quand j'ai vu la photo d'Imka bébé, ça a été lui quoi. Je ne peux pas l'expliquer. Il avait ce regard joyeux, c'était vraiment un chiot toujours content, sur la photo il avait le sourire. Je crois qu'une semaine ou deux après je suis parti le chercher.
Comme il est arrivé dans ma vie à un moment qui était très difficile, ça a été vraiment une béquille. Ce n'est pas forcément très bien, je te l'accorde, mais en fait ce chien, il m'a sauvé la vie clairement. Avant qu'il arrive, je ne sortais plus de chez moi, je ne voyais personne, je ne mangeais plus.
C'était mon premier chien à moi toute seule dans ma vie d'adulte. Donc du coup, tout de suite, j'ai voulu faire les choses bien, donc j'ai contacté une éducatrice canine en positif pour poser les bonnes bases.
Mais ce qu'il préfère par-dessus tout, c'est être en libre dans la forêt, patauger dans l'eau, dans la boue, creuser. Et c'est un chien qui est extrêmement expressif au niveau des yeux. Vous savez s'il va bien, s'il ne va pas bien, c'est vraiment fou.
En ce qui concerne ses soucis de santé, qu'est-ce qui s'est passé et qu'elle était la suite par rapport à ce que vous avez fait avant de penser à me contacter ?
L'été dernier, je l'emmène chez le vétérinaire parce que comme je le nourris au cru, je fais très attention à ces selles et il m'avait fait des selles très, très noires. J'avais vu que ça pouvait être un problème au foie ou un truc pas très cool, donc je l'emmène chez le vétérinaire. Les analyses sanguines étaient plutôt bonnes, par contre il me dit qu'il a un petit souffle au cœur, c'est très léger, mais si un jour vous avez l'occasion fait faire des radios ou une échographie pour savoir d'où vient ce souffle au cœur.
Un mois après, je l'emmène chez un vétérinaire encore pour autre chose où ils doivent l'anesthésier et là je dis écoutez, il est calme, il est apaisé, fais-lui une radio et une écho que je puisse savoir au moins si c'est grave, s'il faut que je consulte quelqu'un d'autre ou pas. Quand je récupère la vétérinaire me dit qu'il faut consulter un cardiologue en vitesse parce que pour elle c'était une cardiomyopathie dilatée.
Mais bon pour nous, Imka n'avait pas changé du tout. Complètement asymptomatique à part ce léger souffle au cœur qu'avez entendu le veto. Donc là-dessus évidemment, on appelle tout de suite une spécialiste cardiologue qui est du côté de chez nous. On l'emmène et ils lui font faire une échographie et elle me dit qu'elle n'écartait pas la cardiomyopathie dilatée, mais pour elle c'était une maladie valvulaire dégénérative de stade 4 sur 5. On n'a pas compris, il est asymptomatique, stade 4 sur 5, on devrait voir au moins quelque chose ?
En balade ça allait, il ne toussait pas, pas d'essoufflement, chien joyeux, qui mangent bien, bref. On repart avec des médicaments et c'était vraiment à petites doses. Elle nous avait dit qu'on ne démarre pas sur un truc trop fort s'il est asymptomatique, ce n'est pas la peine.
Si ça se dégradait, il fallait qu'on reprenne rendez-vous dans les trois mois. Et dans le cas où ça ne se dégradait pas trop, dans les six mois. Les trois quatre premiers mois, ça s'est très bien passé, et au bout de 4 mois, Imka commence à avoir cette toux un peu particulière de crachats. Nous du coup, on a mis ça sur le compte de sa maladie ou des médicaments. On ne savait pas trop, mais on s'est dit, c'est bizarre, quand même. Donc je reprends rendez-vous chez le cardiologue.
Je lui explique un petit peu cette toux et elle me dit, ça, ce n'est pas une toux cardiaque. Par contre, à l'examen elle me dit, par contre maintenant il fait aussi de l'arythmie. Elle me dit de faire une surveillance chaque semaine chez mon vétérinaire référent, parce qu'il faut que cette arythmie s'arrête. On repart avec un petit peu plus de médicaments allopathique. Dans la foulée j'appelle ma vétérinaire qui malheureusement n'était pas disponible parce qu'elle avait la Covid, alors je n'ai eu rendez-vous que deux semaines plus tard. Dans les deux semaines d'attente, l'état d'Imka dégrade vraiment très vite et il perd beaucoup, beaucoup de poids.
Il avait déjà perdu un kilo entre les deux rendez-vous du cardiologue, mais là, vraiment, en deux semaines, on le voit à l'œil nu ! On voit que vraiment ça ne va pas. Donc je rappelle en disant, écoutez, prenez-moi plutôt. Heureusement, mon véto revient et me reprend un petit peu plus tôt.
Donc quand on emmène Imka chez cette vétérinaire, qui n'est pas spécialiste cardiologue, elle l'entend tousser. Elle nous demande s'il n'a pas mangé des limaces ou des escargots. Pour moi, non, mais il mange de l'herbe, comme tous les chiens en balade, ça lui arrive le croquer un brin d'herbe, mais tous mes chiens font ça donc ce n'était vraiment pas une source d'inquiétude pour moi.
Elle nous dit qu'elle soupçonne des vers, ces fameux vers de poumons. Moi, je ne connaissais pas du tout. Elle lui donne une pipette de vermifuge, et il a eu de la cortisone aussi. Enfin un gros traitement de choc, avant qu'on puisse aller chez le cardiologue.
Et je pense que c'est à ce moment-là que je vous ai contacté, en me disant bon, il faut le soutenir ce chien parce que nous on était un peu démuni.
La raison que vous avez décidée de me contacter, c'était quoi exactement ?
Je vous avais déjà consulté pour des problèmes de gastrite à l'époque, il y a un an et demi ou deux ans. Et j'avais constaté que ça avait fait énormément de bien à Imka puisqu'il n'est pas reparti en gastrite depuis, alors que les vétos m'avaient dit que c'était incurable. Et j'avais vu qu'au niveau comportement aussi ça avait porté ses fruits. C'est-à-dire qu'avant nos séances Imka avait une peur illogique avec les cannes à pêche.
Dès qu'il voyait un pêcheur au loin, j'étais obligé de le rattacher et de faire un gros détour pour pouvoir passer ce pêcheur. Et juste après ces séances qu'on avait faites avec lui, et bien, plus rien. Les cannes à pêche, il passaient à côté, il va dire bonjour aux pêcheurs. Enfin voilà, je ne me l'explique pas, mais ça avait super bien marché. Du coup je me suis dit, il faut absolument que je la recontacte, parce que là il est dans le mal et sûrement qu'elle va pouvoir nous aider.
Comme je savais que vous faisiez aussi de la communication animale, j'ai beaucoup hésité en fait, entre la communication animale et le soin énergétique, et après je me suis dit là, il faut du soin, et il faut que je sache quoi.
Parce que finalement, quand on m'annonce tout ça, je suis quelqu'un qui me renseigne énormément, je fouille sur internet, je vais voir les études, et ce que je ne m'explique pas, c'était cette dégradation très rapide. Parce que, quand ils sont sous médication, ça se dégrade, mais lentement, pas aussi vite que là, ça a été. Je voulais un soin complet. En fait, je ne voulais pas que de l'allopathie parce que je souhaitais attaquer sous plusieurs angles. Je tiens tellement à ce chien que c'était impossible pour moi de ne pas essayer de tout faire. Et ça a motivé la prise de contact.
Est-ce que vous pouvez d'écrire un peu ce qui s'est passé après qu'on commence à travailler ensemble ?
On a fait deux soins. Le premier, ça l'a beaucoup apaisé. On a vraiment vu une amélioration et pourtant il prenait les mêmes médicaments qu'avant. La médication n'avait pas encore changé. On a vu du mieux, on a vu un chien un peu plus calme, un peu plus posée en tout cas, et qui retrouve un peu sa joie de vivre. Parce qu'il commençait très clairement à la perdre. Et là on s'est qu'on va pouvoir peut être un petit peu attendre, voir comment ça s'améliore.
Et après il a eu cette fameuse pipette et là la dégradation a été rapide, donc on a fait un deuxième soin. Là, ça allait un tout petit peu mieux, et il avait retrouvé un peu son envie de manger parce que vous m'aviez conseillé des pâtés. Il avait commencé à arrêter de manger ses rations crus et donc les pâtés, pendant trois jours, entre votre soin et la visite chez le vétérinaire cardiologue, il déboitait ses pâtés. Mais malgré tout, il maigrissait.
On a été chez le cardiologue, et on a eu une liste de médicaments longue comme le bras. Des analyses dans tous les sens. Et le cardiologue dit que son pronostic est quand même très engagé. Il faisait de la fibrillation en plus de l'arythmie et des valves qui ne sont pas normales. Et il me dit, ce qui me choque toujours un petit peu, mais comment ça se fait qu'on ne vous ait pas prévenu plus tôt ? Parce qu'on a vu des vétérinaires dans sa vie et jamais, au grand jamais, on m'a dit, il a un souffle au cœur. Et ça, le cardiologue ne se l'explique pas parce que pour lui, c'est congénital, et ça aurait dû être détecté dès petits presque.
Du coup, on revient à la maison. Imka, le soir, vraiment pas bien. Il vomit le peu qu'il a mangé. Et c'est là que c'est le drame. Le lendemain, il ne se lève plus, il ne boit pas, il ne mange pas, il ne prend pas ses médicaments. Pour nous, en tout cas, il n'y a plus rien à faire à ce moment-là. On a atteint nos limites, on va dire.
On a d'abord appelé les vétérinaires pour savoir un petit peu qu'est-ce qu'on devait faire ? Et donc le cardiologue nous dit, vous avez deux solutions. Soit, vous le garder à la maison, et malheureusement il part comme ça, soit vous le faites hospitaliser et c'est 50:50. Soit il y reste, soit il s'en sort. Et là je vous contacte à nouveau.
C'était surtout pour savoir ce que lui il voulait, parce que nous, on était prêt à le faire hospitaliser, mais moi, ma plus grande peur, c'était qu'il parte tout seul dans une cage froide. C'était inimaginable de laisser partir comme ça. Donc là-dessus, vous avez gentiment communiqué avec lui. Vous m'avez dit qu'il désirait rester avec nous. On s'est dit OK, il reste avec nous. On l'a mis bien avec des petites couvertures dans son coin, là où il ne bouge pas. On lui a fait des câlins, on lui a parlé, on a beaucoup pleuré aussi. Avec les conseils de la famille, des amis, on s'est dit, on ne peut pas laisser souffrir comme ça. Je ne me voyais pas le laisser dépérir sans boire, sans manger, jusqu'à ce qu'il s'en aille.
On a trouvé un vétérinaire qui a bien voulu se déplacer et il nous dit je serai là entre 15 h 45 et 16 h 00. Et donc on attendait. Je vous ai prévenu. J'ai prévu ma famille, mes amis, qu'il allait partir vers cette heure-là. J'ai eu beaucoup, beaucoup de soutien à ce moment-là.
Et donc à 15 h 40, on était à côté de lui en train de lui faire des câlins. Et là, Imka s'est levé. Il a bu, il a été faire pipi, et du coup, on a tenté le tout pour le tout. On s'est dit que s'il prend ses médicaments, c'est bingo... et il a pris ces médicaments ! Et là, on s'est regardés et on a dit non, on ne peut pas. On a appelé tout de suite le vétérinaire en lui disant, écoutez, on est désolés, même si vous êtes sur la route, fait demi-tour, parce qu'on pouvait plus. De le voir comme ça, se relever et tout, on s'est dit non, il veut se battre.
Enfin voilà, on ne sait pas expliquer. Jusqu'au moment où je vous ai écrit pour dire ce qui se passait et où là vous m'avez dit qu'il avait reçu un gros, gros soin de toute la terre, et on s'est dit, c'est fou parce que vraiment on n'explique pas pourquoi d'un seul coup, à 5 minutes de l'arrivée du véto. Ça a été vraiment à la dernière minute.
Et du coup depuis, on est super content. Super reconnaissant aussi parce qu'on se dit que ça ne peut pas être les médicaments qui l'ont reboosté, ce n'est pas possible, puisque ça faisait presque deux jours qu'il n'en prenait plus. On voit que ça, il y a que ça qui l'a sauvé finalement.
Et donc depuis il va beaucoup mieux ?
Oui, alors effectivement il y a des hauts et des bas. Mais les bas ne sont clairement pas aussi bas que ce jour-là.
On voit qu'il y a des fois, il y a encore un peu d'œdème parce que ça crépite quand il respire. On voit qu'il y a encore un peu le ventre tendu de temps en temps. Il tousse encore un petit peu, mais ça n'a rien à voir avec ce que ça a été. Les fameux deux semaines là, on en est très, très loin quand même.
Si quelqu'un vous demandez une recommandation pour ce type de soins, qu'est-ce que vous lui direz ?
Déjà, je dirais que même si on n'y croit pas, il faut essayer. Parce que très clairement, moi j'y crois enfin voilà. Donc je suis dans une démarche où je suis positive et où je sais que ça va fonctionner.
Mais là, ça va au-delà de la croyance en fait. C'est-à-dire que même si je vous ai contacté, que j'ai constaté que ça lui faisait du bien, ce fameux jour où on allait le faire euthanasier moi je n'étais pas au courant que vous aviez fait un soin et que vous avez appelé tout vos collègues, et quand je l'ai su, je me suis dit, mais clairement, il n'aurait pas eu ça, il partait. Et même si on n'y croit pas, on voit le résultat sur le chien en fait. Voilà, c'est plus question de croire ou de ne pas croire. Mon chien, il va mieux. Mon chien, il va de mieux en mieux donc le résultat, il est là en fait.
Voilà, je pense qu'il faut essayer. Il faut essayer parce qu'on ne se rend pas compte tant qu'on n'a pas essayé. On peut dire, mais non, c'est du charlatanisme. On peut dire non, il n'y a pas de science derrière, il n'y a pas d'études. N'empêche que même quand on n'y croit pas, force est de constater que ça fonctionne, donc voilà. Je pense que voilà, on n'en serait pas là sans vous.
J'ai une très, très grande reconnaissance pour les personnes comme vous qui essayaient de faire au mieux pour nos chiens, pour des êtres que vous ne connaissez même pas. C'est un don ! Moi, je l'ai pris comme un cadeau.
Oui, c'est vrai, c'est un coût. Mais ce coût, il est dérisoire comparé aux résultats et à ce que vous faites. C'est magique.
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